Revue Annuelle Conjointe

        Région médicale de Kédougou Edition 2018

Ils sont venus de tous les coins de la région pour assister à la présentation de la revue annuelle conjointe de la région médicale de Kédougou édition 2018, ils se sont des professionnels de la santé des trois départements à savoir Kédougou, Saraya et Salémata, des autorités administratives, locales, des partenaires, des populations, bref tous les acteurs qui s’activent dans le secteur de la santé au niveau de la région.

Une présentation bien suivie avec intérêt par des participants d’autant plus qu’on parle de la santé l’une des priorités de nos gouvernants, aujourd’hui qui mérite une attention particulière intéresse tout un chacun dans cette région.

 Toutefois Contrairement ce qui a été relaté par la presse ces derniers jours relatif à la mortalité infantile qui atteint 68% dans la région. Pis encore un taux qui ne cesse de croitre dans la région de Kédougou et qui inquiète davantage les autorités sanitaires.

 Cheihk Sadibou Senghor médecin chef de région qui s’inscrit en faux par rapport à cette information avant de souligne que la situation est loin très loin d’être crique comme le font croire certains journalistes absents lors de la cérémonie de présentation de la revue. D’ailleurs, pour beaucoup de précision il a procédé d’abord à la présentation de la carte sanitaire de la région, montrant aux participants le niveau d’atteinte des indicateurs, ensuite les contraintes rencontrées dans le secteur au niveau de la région, et enfin les recommandations pour faire face à ces difficultés dans la région. Une communication sanctionnée par une conclusion détaillée permettant à l’assistance d’envisager de façon globale le rôle à jouer par tous les acteurs dans le domaine de la santé. D’autant plus que la santé est une compétence transférée. Donc une affaire de tous.

Dans cette logique nous nous referons aux données livrées par le médecin Chef de région qui se présentent ainsi.

               Décès Maternels et néonatals.

 Ce tableau ci-dessus permettra aux lecteurs de mieux comprendre et de faire la différence entre le nombre de décès maternels audités en 2017 qui est 14% et 2018 à 12% et le nombre de décès néonatals notifiés qui est 57% en 2017 et 63% en 2018. Donc une véritable confusion entre le nombre de décès maternel et néonatals.

Des termes qui méritent dêtre maitrisée dira Cheikh Sadibou Senghor.

Ainsi il invite la presse de faire preuve de fidélité et d’esprit d’ouverture afin de procéder aux analyses objectives des documents mis à sa disponible.

LES CAUSES DES DECES MATERNELS ENREGISTRES

Plusieurs recommandations ont été retenues par les professionnels et leurs collaborateurs lors de cette rencontre pour qu’au moins préconiser des solutions idoines face à ces nombreuses difficultés souvent liées à l’enclavement de la région.

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